Oncologie gynécologique à Berlin : Prof. Dr méd. Dr h.c. Jalid Sehouli

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Le Prof. Dr. méd. Dr. h.c. Jalid Sehouli est spécialiste en oncologie gynécologique et directeur de la clinique de gynécologie avec centre de chirurgie oncologique (CVK) et de la clinique de gynécologie (CBF) à l’hôpital universitaire de la Charité de Berlin. Le Prof. Sehouli est également directeur du Centre des tumeurs gynécologiques et du Centre européen de compétence pour le cancer de l’ovaire (EKZE).

Au centre de la Charité, l’un des plus grands hôpitaux universitaires d’Europe, qui compte parmi ses médecins et scientifiques des spécialistes de renommée internationale, le Prof. Sehouli prend en charge et opère les tumeurs gynécologiques selon une approche interdisciplinaire à la pointe de la science. Les souhaits et les besoins individuels des patientes sont primordiaux.

Spécialiste du diagnostic et du traitement du cancer de l’ovaire à Berlin

Le cancer de l’ovaire est une maladie très complexe dont le traitement approprié exige une grande expérience et compétence. Hautement spécialisée, l’équipe dirigée par le Prof. Sehouli au Centre de gynécologie et de chirurgie oncologique propose, dans le cadre du centre de compétence certifié pour le cancer de l’ovaire, une approche thérapeutique professionnelle reconnue depuis de nombreuses années.

En Allemagne, environ 8 000 femmes sont diagnostiquées avec un cancer de l’ovaire chaque année. Une situation stressante pour toutes les personnes impliquées, qui nécessite beaucoup de tact et de compétence de la part de l’établissement médical. Du fait de l’absence de symptômes précurseurs et de possibilités de prévention, ce cancer n’est souvent découvert qu’à un stade avancé. La croissance cellulaire incontrôlée est influencée par des facteurs génétiques et environnementaux. Le nombre de cycles menstruels joue également un rôle important. Le risque de maladie est directement proportionnel à l’âge.

Sous la direction du Prof. Dr Sehouli, un diagnostic complet et rapide est posé à l’hôpital de la Charité de Berlin en cas de suspicion de cancer de l’ovaire, puis prend les mesures nécessaires dans les plus brefs délais. Les patientes sont informées de manière exhaustive à tout moment et suffisamment de temps leur est consacré pour répondre aux questions qu’elles posent.

Approches thérapeutiques et mesures chirurgicales

Les deux piliers thérapeutiques les plus importants dans le traitement du cancer de l’ovaire sont la chirurgie et la chimiothérapie. Une opération réussie est l’étape la plus importante ainsi que la clé de la thérapie préconisée. Une longue expérience opérationnelle, une grande compétence, de même que l’impact du traitement influencent considérablement le pronostic, c’est pourquoi une équipe médicale expérimentée est d’une importance capitale.

Grâce à l’équipe de traitement gynécologique, oncologique et interdisciplinaire hautement expérimentée du Centre de cancérologie de l’hôpital de la Charité de Berlin, d’excellents résultats chirurgicaux sont possibles. L’objectif principal est l’ablation complète du tissu tumoral visible accompagné de la confirmation histologique du diagnostic. L’opération est à la base de la classification du stade tumoral.

L’intervention se fait par une incision longitudinale ouverte, une opération très complexe qui peut durer en moyenne environ cinq heures et varier sensiblement selon l’étendue de la tumeur et l’état de la patiente. Les chirurgiens expérimentés de Berlin procèdent à l’ablation de l’utérus, des trompes de Fallope, des ovaires, des tissus environnants et des ganglions lymphatiques.

Un résultat chirurgical adéquat est la priorité absolue et l’ablation n’est possible que dans des centres certifiés tels que l’hôpital de la Charité de Berlin.

Chimiothérapie et suivi

La chimiothérapie par voie veineuse commence quelques semaines plus tard selon le stade tumoral. L’objectif est de cibler les résidus tumoraux microscopiques ou de soulager les symptômes de manière palliative.

Le traitement se déroule en six cycles avec un intervalle de trois semaines entre chaque administration. L’effet simultané sur les cellules saines de l’organisme est susceptible d’entraîner des effets secondaires, préalablement expliqués par l’équipe soignante berlinoise avec une prise en charge soigneuse en cas de survenue.

Dans la plupart des cas, des médicaments pour la thérapie par anticorps et le traitement d’entretien ultérieur sont administrés parallèlement à la chimiothérapie. Cela permet d’adopter une stratégie thérapeutique ciblée et de prévenir les récidives.

L’hôpital universitaire de la Charité de Berlin permet de participer à des essais cliniques dans le cadre d’un cancer afin de bénéficier des meilleurs soins possible et à la pointe de la technologie. Les médecins expliquent en détail et de manière précise si la participation est envisageable et comment les études se déroulent.

Une grande importance est également accordée au suivi. Ce dernier permet d’effectuer des contrôles importants et rapprochés, mais aussi de soutenir et d’accompagner les patientes concernées au-delà de leur traitement.  

De nombreuses années d’expérience dans le traitement du cancer du péritoine (carcinose péritonéale)

Le cancer du péritoine est causé par la propagation de cellules tumorales dans la cavité abdominale et peut survenir à un stade avancé du cancer de l’ovaire. La prise en charge des tumeurs métastatiques avancées est extrêmement complexe et exige des connaissances approfondies et une longue expérience.

La clinique de gynécologie de la Charité Berlin prend en charge un grand nombre de cas complexes et témoigne d’une grande expertise dans la planification et la réalisation des différentes étapes de traitement et options thérapeutiques grâce à une approche multimodale et extrêmement professionnelle.

Experts dans le traitement du cancer de l’endomètre

Le Prof. Jalid Sehouli est également un expert renommé dans le cancer de l’endomètre (carcinome de l’endomètre). À la Charité, la médecine de haute performance et les concepts thérapeutiques individuels sont combinés pour répondre aux besoins et à l’état de santé de chaque patiente.

La prise en charge du cancer de l’endomètre commence généralement par une intervention chirurgicale consistant à retirer l’utérus. Si le risque de propagation du cancer est plus élevé, les ovaires et les ganglions lymphatiques sont également retirés. Après l’opération, cette prise en charge comporte souvent une radiothérapie ou une chimiothérapie pour combattre les éventuelles cellules cancéreuses restantes.

L’hormonothérapie peut également être une option efficace pour le cancer de l’endomètre à croissance lente, en particulier chez les patientes souhaitant préserver leur fertilité.

La plus grande expertise dans le traitement du cancer du col de l’utérus

La partie inférieure de l’utérus porte le nom de col de l’utérus. Les cellules peuvent également dégénérer et être à l’origine d’un cancer du col de l’utérus, généralement causé par des virus HPV. Le risque augmente surtout en cas de persistance des virus, d’où l’importance cruciale d’un dépistage du cancer du col de l’utérus régulier par frottis cervico-vaginal et d’une vaccination prophylactique.

Le tabagisme et l’affaiblissement du système immunitaire sont d’autres facteurs de risque importants. Les causes exactes et les mécanismes de développement du cancer du col de l’utérus font encore l’objet de recherches actuelles.

Le traitement du cancer du col utérin consiste à retirer l’utérus, ce que l’on appelle une hystérectomie radicale. Toutefois, cette intervention est normalement associée à un taux de complications relativement élevé et à un risque de lésion des nerfs environnants. Le service de gynécologie de la Charité a donc développé une technique permettant de visualiser les nerfs afin de préserver au maximum ces derniers et, de ce fait, maintenir au mieux les fonctions vésicale et rectale. Cela permet de meilleures options de navigation peropératoire et la plus grande extension possible de la zone chirurgicale.

Les spécialistes du traitement du cancer du col de l’utérus peuvent opter pour la trachélectomie chez les femmes qui souhaitent avoir des enfants et dont les tumeurs mesurent moins de deux centimètres. Cette intervention chirurgicale peu invasive permet aux personnes concernées de tomber enceintes ultérieurement. L’équipe dirigée par le Prof. Sehouli explique au préalable toutes les possibilités et conseille les patientes de manière détaillée et professionnelle. Le suivi après l’intervention est également étroit et de la plus haute qualité.

Traitement de pointe de la dysplasie (modifications cellulaires du col de l’utérus)

Les modifications tissulaires du col de l’utérus, du vagin et des lèvres sont appelées lésions dysplasiques considérées comme des stades précurseurs du cancer. Elles nécessitent un contrôle et une surveillance professionnels. Des mesures régulières de prévention et de détection précoce sont donc d’une grande importance pour la prévention du cancer du col de l’utérus.

C’est pourquoi, en cas de modifications cellulaires, une colposcopie est réalisée dans le cadre de la consultation de dysplasie, afin de pouvoir agrandir optiquement le col de l’utérus à l’aide d’un appareil et de l’évaluer avec précision. Le cas échéant, une petite biopsie est prélevée et examinée au niveau histologique. La plupart des modifications cellulaires du col de l’utérus sont dues à des virus HPV transmis lors de rapports sexuels. En règle générale, la maladie virale guérit d’elle-même. Certains facteurs concomitants, tels qu’un système immunitaire affaibli et l’abus de nicotine, augmentent le risque que le virus persiste dans les cellules en entraînant des modifications cellulaires.

Si une dysplasie sévère est dépistée, les médecins berlinois recommandent généralement une conisation, c’est-à-dire une excision conique de la zone cervicale affectée. D’autres contrôles et un dépistage du cancer régulier sont indispensables.

Ablation en douceur des myomes utérins

Les nodules musculaires bénins dans l’utérus sont très fréquents et restent souvent asymptomatiques. La cause de l'apparition des myomes est inconnue, mais un facteur génétique est évoqué. La croissance des myomes est stimulée par l’œstrogène, l’hormone sexuelle féminine. Environ 15 à 25 pour cent de toutes les femmes en âge de procréer souffrent de cette maladie bénigne.

Les myomes plus volumineux peuvent causer des troubles et entraîner des règles irrégulières, douloureuses ou très abondantes. Des douleurs abdominales diffuses ou des troubles de la miction dus à la pression exercée sur la vessie peuvent également survenir. L’ensemble des symptômes peut parfois réduire considérablement la qualité de vie des femmes concernées.

Les nodules musculaires sont différenciés en fonction de leur emplacement et susceptibles de se développer à l’intérieur de la cavité utérine, à l’intérieur de la couche pariétale, mais aussi à l’extérieur de l’utérus. Ainsi, il est possible d’envisager différentes options thérapeutiques selon le myome. Les spécialistes de l’hôpital de la Charité de Berlin se chargent d’expliquer en détail toutes les options thérapeutiques aux patientes, qui peuvent choisir parmi un grand nombre de méthodes thérapeutiques médicamenteuses et chirurgicales. La Charité propose toute la gamme des traitements des myomes pour soulager efficacement les symptômes des personnes affectées.

Pour de plus amples informations, veuillez consulter le site Web du Centre de cancérologie gynécologique de la Charité – Hôpital universitaire de Berlin.